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Calypso
16 janvier 2019

La passe-miroir. 2, Les disparus du Clairedelune

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Les disparus du Clairedelune

Christelle Dabos

Gallimard Jeunesse, 2018

668 p.

9.40 €

 

Ma note : 17/20

 

 

 

 

Résumé éditeur

Fraîchement promue vice-conteuse, Ophélie découvre à ses dépens les haines et les complots qui couvent sous les plafonds dorés de la Citacielle. Dans cette situation toujours périlleuse, pourra-t-elle compter sur Thorn, son énigmatique fiancé ? Et que signifient les mystérieuses disparitions des personnalités influentes à la cour ? Ophélie se retrouve impliquée malgré elle dans une enquête qui l'entraînera au-delà des illusions du Pôle, au coeur d'une redoutable vérité.

 

 

Mon avis

Même avis que pour le tome 1 (voir Les fiancés de l'hiver) : un univers extraordinaire dans lequel j'ai pris un réel plaisir à me replonger, mais des péripéties, longueurs et répétitions à n'en plus finir (ce 2è tome fait plus de 600 pages, je saturais vraiment sur la fin) pour en venir à un scénario beaucoup trop tiré par les cheveux pour moi dans le dernier quart du livre, et une héroïne que je n'arrive décidément pas à apprécier, ce qui m'empêche d'adhérer à son histoire avec Thorn.

Malgré ses longueurs et autres défauts à mes yeux (à lire les avis encenseurs des autres lecteurs, j'ai l'impression d'être la seule à en voir), j'ai quand même trouvé ce tome 2 plus prenant que le premier, qui mettait surtout en place l'univers de la Citacielle et ses personnages, et j'ai passé dans l'ensemble un bon moment de lecture. Le monde imaginé par l'auteur reste fascinant, les personnages secondaires le sont aussi, et le potentiel d'Ophélie est enfin exploité.

C'est donc un avis encore bien partagé sur cette saga ! Lirai-je le tome 3 ? En refermant celui-ci, je me suis dit que j'arrêterai là, mais, quelques jours après "digestion", j'ai envie d'aller au bout malgré tout.

 

 

 

"- Vous voulez régler tous les problèmes par vous-même, poursuivit-elle d’une voix épaisse, quitte à utiliser les gens comme des pièces d’échiquier, quitte à vous faire détester du monde entier.
- Et vous, vous me détestez encore ?
- Je crois que non. Plus maintenant.
- Tant mieux, grommela Thorn entre ses dents. Parce que je ne me suis jamais donné autant de mal pour ne pas être détesté de quelqu’un."

 

 

"Pourquoi tout le monde s'enfermait-il à double tour dans ses secrets ? N'aurait-il pas été tellement plus simple de se faire enfin confiance les uns envers les autres ?"

 

 

"- Quand je vous ai dit que vous aviez une prédisposition surnaturelle aux catastrophes, ce n’était pas une invitation à me donner raison."

 

 

 

 

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